Ci-dessus, la photo officielle de Luc Bérard de Malavas, maire-adjoint aux sports, ami proche du maire d'Asnières sur Seine, Sébastien Pietrasanta, élu qui a sollicité le 2 novembre 2009 les riverains du stade Magenta afin qu'ils leur apportent les preuves des moments de nuisances sonores maximales provoquées par un usage permanent et intensif du stade Magenta.
Apparemment, la directeur du centre aéré n'a pas été informé des demandes aux habitants de l'élu en question, à moins qu'il n'en ait pas compris le sens et les nécessités techniques qui en découlent.
Aussi, attentif à favoriser le dialogue fructueux engagé le 2 novembre 2009 entre élus et citoyens, Asnières Nouvelles Citoyennes rend PUBLIC les évènements que les riverains nous ont apportés afin de manifester leur totale bonne foi et leur ferme volonté de contribuer à résoudre les problèmes qu'ils subissent.
Au maire-adjoint concerné de faire ensuite le nécessaire en informant correctement et en expliquant, le cas échéant, les choses aux personnels municipaux de manière détaillée, ceci afin d'éviter que le conflit en voie de résolution rebondisse par inadvertance.
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Dossier du stade Magenta: la mairie d'Asnières essayerait-elle d'empêcher les riverains de rassembler les preuves matérielles, notamment audiovisuelles, des nuisances sonores qu'ils subissent?
La réunion du 2 novembre 2009-dont nous avons parlé dans notre article précédent- avait, entre autres points, acté, à la demande de Luc Bérard de Malavas, maire-adjoint aux sports, que les riverains fassent remonter vers lui, donc vers la mairie, un relevé précis et avéré des horaires durant lesquels les nuisances sonores étaient les plus intolérables pour les riverains du stade Magenta.
Ceux-ci ont donc accepté cette « mission » et ont commencé à s'en acquitter afin de porter les faits constatés et mesurés à la connaissance de la mairie.
Certains résidents du quartier avaient observé, non sans raison, que la maire-adjoint aux sports, qui a donc dans son service le plan quotidien d'utilisation du stade, aurait pu aisément et sans perte de temps déduire de ses documents d'occupation du stade les moments où les bruits pouvaient normalement, vu le nombre d'utilisateurs, être les plus intenses et puissants.
Mais, la confiance semblant s'établir entre élus et citoyens, ils ont agi en toute bonne foi et pour la sauvegarde de leurs légitimes intérêts, en gardant pour eux leurs observations personnelles.
Donc, ce jour, 5 novembre 2009, les riverains ont donc commencé à filmer et enregistrer les moments pendant lesquels les NUISANCES SONORES ETAIENT PORTES A LEUR MAXIMUM ET LEURS CAUSES MANIFESTES.
Afin d'identifier sans contestation possible les sources des bruits nuisibles à leur tranquillité dont la mairie est la garante au nom des lois et règlements de la République, ils ont donc utilisé des appareils de vidéo, permettant ainsi en même temps de capter le son et les images qui vont avec!
La démarche était claire, limpide....... et demandée par un maire-adjoint.
Or, surprise soudaine, des riverains filmant les scènes de jeux de ballons des enfants du centré aéré ont été priés, par le directeur du centre aéré d'arrêter leurs prises de vue et de son, au motif que cela serait..... interdit!!!
Ces mères et pères de famille du quartier ont été indignés de ces demandes émanant d'un employé municipal qui aurait dû être informé par Luc Bérard de Malavas des raisons précises et parfaitement connues de lui de ces reportages audiovisuels.
Mais le directeur du centre aéré semblait ne pas avoir été informé par le maire-adjoint de SES demandes publiquement faites aux riverains!
Que signifie cette réaction bien étrange émanant de ce directeur de centre aéré qui aurait dû être informé par l'élu en charge des sports de la situation et des missions confiés par lui aux riverains du stade? Ou bien, voudrait-on- en mairie- empêcher les résidents de « monter » un dossier de preuves audiovisuelles PROBANT?
Malgré les intimidations reçues, les riverains ont rempli la tâche que Luc Bérard de Malavas leur avait commandée: ils ont enregistré, avec les images et le son, les horaires de fortes nuisances sonores et leur cause matérielle exacte.
Voici les preuves collectées ce jour:
Le 5 novembre 2009, le matin, à 9 heures, les riverains pouvaient noter huit (8) ballons durs de foot avec matchs, sifflets et hurlements. En même temps sur l'école Simone Veil,ils distinguaient nettement quatre (4) ballons durs de baskets et quatre (4) ballons durs de hand pour apprendre aux enfants à dribler sous le préau!!!..
A 11h15, il y avait sur le stade encore huit (8) ballons durs de foot avec des enfants et un moniteur doté d'un sifflet strident. A la même heure, sur l'école Simone Veil, on pouvait voir un autre moniteur muni d'un sifflet avec des enfants et seize (16) ballons de basket en utilisation conjointe. Sur le film, on distingue aussi très bien deux autres arbitres avec des oranges et des sifflets très bruyants!
Questions d'Asnières Nouvelles Citoyennes à Luc Bérard de Malavas:
1) A-t-il ou non informé les personnels du centre aéré et son directeur du dispositif de preuves qu'il a demandé aux riverains de rassembler par leurs moyens techniques, donc audiovisuels?
2) Comment le maire-adjoint peut-il ignorer- après avoir lu ses plans d'occupation du stade Magenta- le vacarme produit sur des sols revêtus de matériaux résonnants par tous ces ballons ensemble, assorti de coups de sifflet et de cris joyeux OU cherche-t-il à créer des « doutes » malsains sur les raisons précises des activités audiovisuelles des riverains.... comme le journaliste et blogueur Christophe Grébert fut accusé de manière indigne et malhonnête par la mairie de Puteaux?
Ces questions sont posées au maire-adjoint par les riverains- et par Asnières Nouvelles Citoyennes avec eux!
Il serait dommage pour toute la municipalité et son image publique que Luc Bérard de Malavas n'y apporte pas au plus vite des réponses rassurantes, avec les consignes appropriées aux personnels communaux.....
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Marie-Dominique Aeschlimann et l'angoisse du siège à perdre
La presse et les médias relatent « affaires » et scandales en série, sans oublier les couacs et les affrontements internes au sein du gouvernement, entre le gouvernement et les parlementaires (députés et sénateurs), le gouvernement et les élus locaux, et enfin, les rivalités au sein de l'UMP en vue des places éligibles pour les élections régionales.
Il est vrai que ces querelles de places bien rémunérées à se partager entre élus actuels ou élus potentiels, alors que le pays s'enfonce chaque jour dans une crise sans fin qui appauvrit les citoyens, a un aspect pathétique et éloigné des réalités sociales et économiques qui génère un mépris croissant justifié dans l'opinion publique!
A Asnières sur Seine, une élue tremble chaque jour davantage devant ces crises, déchirures, affrontements, alliances ou mésalliances possibles. Il s'agit de Marie-Dominique Aeschlimann!
Marie-Dominique Aeschlimann a ses priorités, loin, très loin de celles de l'immense majorité des citoyens.
Elle s'inquiète en effet beaucoup, non pour l'avenir et le quotidien matériel des citoyens, ce qui lui indiffère totalement, mais pour son siège d'élue régionale.
Selon en effet qui va diriger la liste UMP et alliés dans les Hauts de Seine, d'André Santini ou de Roger Karoutchi, et de quelles femmes seront vues comme de possibles « locomotives » de la liste, Marie-Dominique Aeschlimann pourrait-ou non- garder sa place au Conseil Régional Ile de France.
Selon des sources fiables, l'Elysée souhaiterait que la liste dans le 92 soit emmenée par André Santini qui a ses idées sur les femmes qu'il intégrerait dans la liste qu'il conduirait. Il n'est pas acquis que Marie-Dominique Aeschlimann soit considérée par ce député, et par d'autres responsables de la campagne UMP et alliés pour le scrutin régional, comme...une bonne « locomotive » pour la liste!
Valérie Pécresse n'est pas, elle aussi, convaincue de côté « traction électorale » de la conseillère municipale asnièroise. Elle n'a certainement pas tort. D'autres poids lourds de l'UMP ne veulent pas, eux aussi, pour des raisons diverses, de Marie-Dominique Aeschlimann.
Quant au locataire de l'Elysée, il a d'autres chats à fouetter actuellement que tenter de sauver celle que ses meilleurs ennemis à l'UMP ont surnommée: « Marie-Dodo ».
Sans parler de celles et ceux qui rappellent, l'air entendu, que « Marie-Dodo » a des casseroles judiciaires qui tintent derrière elle, comme derrière son mari, et que mieux vaudrait éviter en mars 2010 des casseroles qui résonneraient trop fort au mauvais et inopportun moment où les électeurs iraient voter!
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Sur « une exigence de stationnement gratuit dans toute la ville »
Ce sont les époux Lafaye qui vont encore se sentir mal à l'aise avec cette nouvelle qui nous arrive d'un blog asnièroishttp://www.asnieresrepublicain.com/?p=126:
http://www.asnieresrepublicain.com/?p=126
Les « républicains » d'Asnières, terme étrange car la République appartient à tous les citoyens et non à un groupe particulier, « exigent » de la municipalité la GRATUITE DU STATIONNEMENT DANS TOUTE LA VILLE....tant que le parking centre-ville ne sera pas ouvert au public.
Certes, à première vue, la revendication affichée paraît logique et sensée. Mieux, c'est une exigence qui ne peut pas être impopulaire car les amendes qui pleuvent sur les automobilistes asnièrois, mais aussi sur les salariés extérieurs à Asnières qui font la richesse de la commune, ne recueillent que de l'antipathie naturelle, voire génèrent une franche hostilité spontanée.
A regarder l'argumentation avec plus de soin, on constate que l'argument « deux poids, deux mesures » qui est avancé par le blog, est totalement INVALIDE au regard des problèmes par nature différents selon les quartiers du stationnement urbain.
Il existe des quartiers- notamment commerçants et densément peuplés- où les partisans du stationnement payant auront de solides arguments pratiques en sa défense ET, en sens inverse, des quartiers où le stationnement payant est une totale absurdité reconnue par tous (zones résidentielles peu denses).
A Asnières Nouvelles Citoyennes, nul(le) n'a contesté le bien-fondé a priori de l'exigence de ce blog.
Cependant, il nous paraîtrait plus habile et plus réaliste dans le fond de revendiquer la gratuité du stationnement dans toute la ville comme mesure de relance économique ET la construction de places en nombre suffisant sur la ville, comme une seule et même politique cohérente et globale.
Car, en effet, l'essentiel est toujours et encore de traiter le problème à partir de sa cause, à savoir le manque criant de places de stationnement à Asnières, ce que les propositions loufoques et dangereuses des époux Lafaye avaient laissé de côté, obsédés qu'ils étaient par l'idée autodestructrice de ponctionner leurs concitoyens et électeurs au profit final de VINCI....!!!
La demande de ce blog peut être l'occasion de lancer un vrai plan municipal CONCERTE AVEC LA POPULATION afin de vraiment s'attaquer à ce manque de places ET à l'arrêt définitif du paiement du stationnement là où il n'existe aucune raison que cela soit.
A la mairie d'enfin aborder, avec calme, intelligence et dans sa globalité, un problème qui est déjà ancien et que la politique de sur-densification de la commune de l'équipe des époux AESCHLIMANN a aggravé.
Marylise Dipusu
Chapitre 213 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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