Asnières devrait se doter d'un panneau similaire pour indiquer que la Ville a été victime de dérapages et dérives financières, administratives et juridiques gravissimes, sous la mandature des époux Aeschlimann.
Quand une voiture, comme une commune, a dérapé et a été victime de l'accident qui suit logiquement un dérapage, une enquête est ouverte par les autorités compétentes afin d'identifier les responsabilités, de définir les causes et de sanctionner, le cas échéant, les coupables de ces dérapages.
Il devrait en être ainsi à Asnières, ville qui a perdu 1,4 million d'euros pour RIEN après 6 ans de gestion fautive et irresponsable des époux Aeschlimann.
Il est temps qu'à Asnières, les dérapages financiers avec l'argent public, comme sur les routes pour les conducteurs dangereux, soient sanctionnés avec sévérité!
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Dossier du parking centre-ville: le trop plein de mensonges et d'opacité sur des dérapages et dérives qui ne peuvent pas rester impunis
Manuel et Marie-Dominique Aeschlimann ont manœuvré dans l'opacité, menti sur les faits réels, camouflé les chiffres et les textes dans les dossiers qui auraient dû mener à l'existence d'un parking public en centre ville, et ce de 2002 à 2008!!!
Sébastien Pietrasanta et son cabinet s'enferrent dans les erreurs factuelles, les omissions trompeuses, les confusions dangereuses et les petits mensonges nuisibles à l'intérêt public depuis mars 2008!!!
A l'évidence, les dossiers visant à enfin bâtir ce parking au centre d'Asnières ont coûté très cher aux citoyens de la commune, mais ne leur ont servi en rien.....
Face aux mensonges des uns et des autres, avec cependant une large prépondérance aux époux Aeschlimann, face à la lâcheté de Manuel Aeschlimann qui faisait signer des contrats et conventions par son premier adjoint, Charles Caillet, afin de tenter d'échapper à ses responsabilités fautives, il était temps que la vérité soit dite PUBLIQUEMENT.
C'est donc avec fierté qu'Asnières Nouvelles Citoyennes publie le LIEN INTERNET qui permettra à tous les habitants et élus d'Asnières sur Seine de comprendre les dessous des dossiers inachevés, mais si onéreux, le tout sans aucun résultat depuis 2002. Ce lien devrait aussi être utile aux élus du département, aux partis politiques, aux magistrats judiciaires et financiers, aux médias écrits, audiovisuels et de l'Internet.
Le travail de présentation, clair et précis, avec références avérées, que nous vous présentons est le fruit du labeur de citoyennes et citoyens libres d'Asnières sur Seine qui y ont consacré des semaines entières. Nous les remercions ici chaleureusement car leur travail est irremplaçable au sens premier du mot: c'est un véritable exposé de dossiers complexes en 20 pages lisibles et limpides.
http://www.parking-asnieres.netai.net/infos.html
Pour tourner les pages, cliquer sur les signes en haut de la page indiquant l'avance ou le recul dans le diaporama.
Nous avons là en effet un saisissant raccourci de l'incompétence profonde, de l'indécision coupable, de la couardise surréaliste des époux Aeschlimann face à leurs actes et aux conséquences désastreuses qui sont payées par les contribuables asnièrois.
En filigrane, nous avons aussi de très légitimes questions sur les errements actuels de Sébastien Pietrasanta et de son administration, errements qui ne peuvent masquer 6 années de dépenses considérables POUR UN RESULTAT INEXISTANT!
Il urge que la municipalité actuelle, comme pour le financement du scandale appelé « IRASNIERES » crée une commission d'enquête municipale afin de dire TOUTE la vérité au nom de la Ville sur ces affaires de parking public JAMAIS CONSTRUIT en 6 années!
Il urge que, si des délits et/ou des abus sont avérés par cette enquête exhaustive, les plaintes en Justice qui en découlent soient déposées sous forme de constitution de partie civile et/ou que les fautifs identifiés aient à rembourser à la Ville TOUTES leurs fautes qui ont causé un préjudice financier – plus d'1,4 million d'euros perdus en vain- et matériel aux citoyens d'Asnières dans leur vie quotidienne.
Nous invitons tous les lecteurs à faire circuler partout dans la commune, aux amis, parents, voisins , relations, ce LIEN afin que la vérité des faits soit enfin PUBLIQUE.
Nous invitons sites et blogs, y compris celui de Sébastien Pietrasanta, en toute transparence et honnêteté, à publier ce lien afin que la LUMIERE JAILLISSE SUR LE PLUS NUISIBLE DES AGISSEMENTS INCOMPETENTS ET FAUTIFS DES EPOUX AESCHLIMANN CONTRE LES HABITANTS D'ASNIERES.
L'objectif est de créer un buzz sur internet contre ce scandale d'un parking inexistant au prix d'1,4 million d'euros....
Marylise Dipusu
Chapitre 220 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
2 commentaires:
La description détaillée de toutes ces incivilités judicaires appelle à n’en pas douter chacun à réfléchir sur les mesures à prendre.
La municipalité actuelle et son chef, Sébastien Pietrasanta, ont un devoir à la fois moral, comptable [comptabilité publique], administratif (responsabilité des élus devant les citoyens-élus-administrés) et judicaire (article 40 du code de procédure pénale) de poursuivre les auteurs de ces dérives illégales.
Pourquoi le maire actuel n’a-t-il rien fait ?
Il est impensable d’imaginer que le maire actuel et son prédécesseur aient pu passer un pacte de non-agression mutuel. Ce serait trahir leurs électeurs, leur parti et les mettre tous les deux dans une situation intenable vis-à-vis de la justice correctionnelle.
Et quels intérêts pécuniaires auraient-ils à s’entendre pour se taire l’un a propos de l’autre.
Non, c’est impensable !
Par contre, les deux maires sont tenus de rendre de ces comptes et d’en exiger l’un de l’autre.
Le maire actuel, Sébastien Pietrasanta, est Officier de Police Administrative (OPA) et Officier de Police Judicaire (OPJ).
Son prédécesseur, Manuel Aeschlimann est devenu avocat par magie sans avoir les diplômes requis et avec pour toute compétence juridique fondant sa procédure d’obtention du titre d’avocat par équivalence une multitude de casseroles pénales en cours devant les tribunaux et une condamnation à 16 mois de prison, 100.000 euros d’amende, et l’interdiction d’exercer toute profession juridique, tout cela du fait de délits commis lors de son mandat d’élu d’Asnières.
Etant, faux-vrai-avocat, donc auxiliaire de justice, Manuel Aeschlimann a la double obligation de dénoncer toute pratique délictuelle aux termes de l’article 40 du code de procédure pénale.
Voila donc la situation :
Sébastien Pietrasanta, maire, conseiller régional, OPA, OPJ a pour devoir de dénoncer à la justice les délits de Manuel et Marie-Dominique Aeaschlimann comme le lui en fait obligation l’article 40 précité.
Comme Sébastien Pietrasanta s’abstient de le faire, il comment son tour un délit.
Un délit que Manuel Aeschlimann, en tant que vrai député membre de la commission des lois, conseiller municipal, faux-vrai-avocat, et auxiliaire de justice, ainsi que Marie-Dominique Aeschlimann conseillère régionale d’un jour, conseillère municipale, ont un devoir de dénoncer à la justice en vertu de l’article 40.
En conclusion, Pietrasanata doit dénoncer les époux Aeschlimann à la justice et s’il ne le fait pas, les époux ASeschlimann doivent le dénoncer pour ne pas les avoir dénoncés.
Cela peut paraître étrange, mais ce sont l’esprit et la loi des dispositions du code de procédure pénale et de la République française membre de l’Union Européenne.
Albert Manuel d'Arbanville
Bonjour,
Ce qui est dit par le commentateur précédent sur l'usage et l'obligation des élus et fonctionnaires publics de l'article 40 est confirmé par un article du Canard Enchaîné de la semaine passée qui cite Monsieur Devedjian indiquant que Nicolas Sarkozy avait plusieurs fois été contraint de dénoncer des délits graves réalisés au Conseil Général des Hauts de Seine lorsque Charles Pasqua était Président de ce dernier.
Il est en effet curieux qu'à Asnières, après un Rapport de la Chambre Régionale des Comptes qui dénonçait lui aussi, après un examen pourtant non-exhaustif, plusieurs délits graves -dont à ce jour un seul, concernant Antoine Bary, a été sanctionné-, la municipalité actuelle n'ait pas utilisé l'article 40 en question comme le fit Nicolas Sarkozy au Conseil Général.
Et pourtant, cette affaire de parking public jamais construit pour une dépense réelle de 1,4 million d'euros devrait intriguer élus et magistrats du Parquet de Nanterre...
Il n'est pas fréquent qu'une Ville perde 1,4 million d'euros pour ne rien avoir avec cette somme.
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