jeudi 1 avril 2010

Asnières sur Seine: les citoyens et l'intérêt public au centre de tout




Ci-dessus, une vue nocturne splendide et romantique de la Tour Eiffel au deuxième étage de laquelle se trouve le restaurant "le Jules Verne" où Manuel Aeschlimann n'aurait jamais célébré un anniversaire, même pour ses 40 ans.


En-dessous, un très joli gâteau d'anniversaire que lui, son épouse, ses enfants, n'auraient jamais eu la joie de déguster vu que Manuel Aeschlimann a déclaré devant les policiers de la BRDE qu'il ne fêtait AUCUN anniversaire, ce qui en fait le député le moins romantique et le moins attaché aux valeurs familiales traditionnelles- qu'il prétend défendre- de toute l'Assemblée Nationale.


Pour connaître la suite de ses déclarations, rendez-vous est donné aux médias et aux citoyens disponibles le 8 avril 2010, devant la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre que le toujours député et maire battu commence à bien connaître.


Un grand moment de Justice à voir et entendre, avec en acteur secondaire jouant pour l'heure le rôle principal, le bon mangeur Bernard Loth.


Question: l'audience pénale ne
verra-t-elle pas l'inversion des rôles et des places pour les deux hommes?

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Une Déclaration Publique de la rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes


La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a tenu récemment une réunion plénière qui a décidé de publier une DECLARATION PUBLIQUE sur ce que seront ses axes de travail et d'information.


La voici:


« Asnières Nouvelles Citoyennes s'est constituée à partir d'une petite équipe de citoyennes et citoyens, attachés à leur liberté de parole ainsi que de pensée, à leur indépendance d'expression et au droit inaliénable de critique.


L'équipe originelle s'est développée avec le temps, le travail effectué et les succès remportés.


Aujourd'hui, le comité de rédaction élargi a décidé de se doter d'une CHARTE, simple, claire et publique.


Celle-ci tiendra en 3 points déontologiques incontournables:


1- Liberté totale d'expression, d'information, de critique, y compris satirique, au bénéfice EXCLUSIF des intérêts collectifs des citoyens d'Asnières et de l'intérêt public.


2- Collecte et diffusion des informations en toute indépendance par rapport à tout élu, tout candidat, tout politique, tout pouvoir, toute religion, tout parti, syndicat ou association.


3- Travail collectif de la rédaction centré exclusivement sur l'intérêt public, les citoyens et leur expression propre. Par ce moyen, nous avons comme objectif de contribuer à mettre CONCRETEMENT les citoyens, leurs problèmes, leurs aspirations, la démocratie et l'intérêt public au centre de tout DEBAT PUBLIC à Asnières.


En accord avec cette Charte et ses 3 points, la rédaction portera toute son attention sur l'expression libre des citoyens visant à l'intérêt public dans les commentaires acceptés par elle. Elle assume ce contrôle sur la base des règles édictées par la présente Charte. Elle interviendra aussi sur tous les sujets qui touchent à l'intérêt public collectif des habitants de la commune.


Très bientôt, afin de faciliter les relations entre la rédaction et les citoyens, une adresse collective de la rédaction sera mise en service.



Le Comité de Rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes



Le 8 avril 2010: Manuel Aeschlimann retourne devant ses juges dans l'affaire Avenance



Certes, le 1er avril est par convention un jour de farces et de plaisanteries. Mais, là, tel n'est pas le cas.


Nous rappelons donc que l'encore député Manuel Aeschlimann sera une nouvelle fois en Justice pour une affaire dans laquelle il est soupçonné d'avoir reçu des avantages indus suite à un marché public avec le groupe AVENANCE. L'audience est prévue le 8 avril 2010, devant la 15ème Chambre Correctionnelle du TGI de Nanterre.


On ignore à cette heure si Marie-Dominique Aeschlimann viendra témoigner des anniversaires jamais fêtés avec son époux (selon ce dernier) et sur les repas qu'elle n'a jamais partagés avec son mari au restaurant « le Jules Verne », toujours selon son mari.


On ignore aussi si les époux HORTEFEUX seront entendus comme témoins dans ce dossier pour un repas à 732 euros (en temps de crise, cela revêt un caractère très social) réglé par le groupe AVENANCE.


Après les mesures prises contre Rachida Dati (et apparemment d'autres anciens ministres ensuite),

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2010-03-31/tensions-decision-rachida-dati-mise-a-pied/917/0/439603


il semble que Brice HORTEFEUX sait faire entendre sa colère lorsqu'il est injustement mis en cause.


Si l'on regarde le sort en forme de « Malheur aux vaincus(es) » que vit Valérie Pécresse selon la presse,

http://www.bakchich.info/Valerie-Pecresse-en-detresse,10419.html


les époux Aeschlimann ont du souci à se faire pour leur fin de carrière!


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Point d'Histoire asnièroise (1940-1944): qu'est devenu un bien municipal très coûteux?



Notre commission « Histoire d'Asnières » revient sur le dossier de l'acquisition d'une abbaye poitevine achetée en 1941 (selon certains), en 1942 (selon d'autres) par la Ville d'Asnières sous la gestion du maire pétainiste et collaborateur de l'époque, André Charles GATEFAIT, entrepreneur en maçonnerie de profession (et non maçon comme certaine sources l'ont indiqué par erreur.


Selon notre enquête et nos sources publiques, la Ville avait acheté, officiellement, la propriété dite « Notre Dame du Pin », sur la commune de Béruges (Vienne) afin d'y abriter un centre de vacances pour les jeunes de la commune.


Sources:


http://abbayedupin.free.fr/index.php?file=history


http://www.archives-vienne.cg86.fr/article.php3?id_article=378


A noter que le site qui promeut les activités de « jeunes » dans ce cadre très agréable a subi de forts remaniements depuis que nous avons évoqué dans nos colonnes son passé, ses zones d'ombre et son manque d'informations transparentes.


http://abbayedupin.free.fr/index.php?file=mai


Ainsi, la mention originelle de l'association asnièroise qui gère ACTUELLEMENT ce lieu touristique a été remplacée par cette phrase sybilline et plutôt générale DANS la partie « Histoire »:


« Ces dernières années, une restauration a été entreprise pour mettre en valeur ce témoignage de notre patrimoine régional ».


Toutefois, dans la rubrique « contacts », on retrouve le nom de l'USSAC, association liée à la paroisse Sainte Geneviève d'Asnières sur Seine et PROPRIETAIRE ACTUEL de ce site prestigieux..


A ce jour, la mairie d'Asnières sur Seine est restée silencieuse sur l'acte de vente et le prix de cession à la paroisse asnièroise précitée de ce BIEN COMMUNAL, ainsi que sur sa date exacte.


On ne sait donc pas encore quand, comment, pourquoi et à quel prix un BIEN COMMUNAL de grande valeur est passé de la Ville à une association d'origine cultuelle, de plus à l'époque faible et pauvre!


Pages 479 et suivantes sur ce lien qui traite de l'Eglise catholique et du pouvoir colonial en Afrique, on apprend que le site aurait été, selon l'auteur, à la fois un séminaire subventionné par le...Ministre des Colonies de Pétain et un chantier de jeunesse!!!:


http://books.google.fr/books?id=LVIyoaW4qO0C&pg=PA479&lpg=PA479&dq=P%C3%A9tain+%C3%A0+B%C3%A9ruges&source=bl&ots=2cmeUCcU7F&sig=G2-FfQPbHrHuNFVDdzfQJYyt6FU&hl=fr&ei=cV-0S7TTMJ-R4gbL6-n5Dg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CAYQ6AEwAA#v=onepage&q=


C'est dire si la transparence ne règne pas sur ce dossier des relations passées de la Ville d'Asnières sur Seine avec ce site, ainsi qu'avec la paroisse Sainte Geneviève et ses ressources financières qui n'égalent pas ceux d'une mairie comme celle d'Asnières sur Seine.


Nous réitérons notre demande citoyenne à Sébastien Pietrasanta, Docteur en Histoire, spécialiste du régime pétainiste, afin qu'il fasse toute la lumière sur ce point d'Histoire communale avec l'aide des archives municipales.


La Ville d'Asnières sur Seine aurait-elle été lésée dans ses intérêts financiers par une cession très discrète, à bas prix de plus, que l'on veut encore cacher aux habitants? Ne serait-il pas temps d'éclaircir enfin totalement ce point de l'histoire asnièroise, documents à l'appui?


A un moment où les scandales financiers et sexuels assaillent une Eglise catholique peu transparente, voire complice sur ces points de délits répétés et nombreux, attitude qui nourrit une crise formidable en son sein et contre elle dans les opinions publiques du monde entier, il serait bienvenu de faire toute la lumière aussi sur ce dossier MUNICIPAL.



Marylise Dipusu



Chapitre 276 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008



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