Notre iconographie du jour va traiter de la lâcheté de certains politiques, particulièrement à Asnières.
D'abord, avec la couverture d'un livre sur un train de la lâcheté. Ce défaut de caractère n'existe pas que dans le train décrit par ce texte, mais on pourrait aussi le trouver, bien installé, trônant presque, en mairie d'Asnières.
En atteste la lettre que nous publions INTEGRALEMENT et qui montre que la lâcheté politique est aussi une couverture de l'incompétence, du mépris des gens et du désintérêt de l'intérêt public.
Cette lettre est à lire lentement pour en apprécier toute la profonde couardise qu'elle recèle, toute l'hypocrisie qu'elle apporte en mettant tout sur le dos des services-lents selon cette missive- de l'Etat et toute l'incompétence qu'elle souligne avec un rare talent.
Cette lettre est à lire lentement pour en apprécier toute la profonde couardise qu'elle recèle, toute l'hypocrisie qu'elle apporte en mettant tout sur le dos des services-lents selon cette missive- de l'Etat et toute l'incompétence qu'elle souligne avec un rare talent.
Le dégoût qui vient à la bouche ensuite est naturel: les attitudes veules et irresponsables engendrent souvent ce sentiment humain.
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Aux grandes lâchetés, la langue de bois reconnaissante ou l'histoire édifiante d'élus qui méprisent ouvertement les citoyens
Avant de lire cet article, nous vous invitons à lire la lettre en deux feuillets ci-dessus qui est un SCOOP EXCLUSIF d'Asnières Nouvelles Citoyennes.
Il semble bien que l'histoire de 1998 va se répéter, mais à l'envers:
En 1998, du fait de l'action conjuguée, mais non-concertée du Collectif contre le stationnement contre le stationnement payant en zones résidentielles et des trahisons en interne dans la mairie de Manuel Aeschlimann contre Frantz Taittinger, le canton nord avait vu être élu miraculeusement le candidat du PS, Dominique Riera, le tout dans un scrutin triangulaire, contre le candidat RPR Christian Leblond.
En 2011, 13 ans plus tard, le candidat PS, Luc Bérard de Malavas, qui pourrait espérer emporter le canton nord d'Asnières du fait d'un rejet massif croissant de l'UMP, de la politique du gouvernement et de Nicolas Sarkozy, se place lui-même en situation de pouvoir perdre, et ce par sa propre lâcheté de maire-adjoint face à un dossier simple: celui des nuisances sonores qui révoltent les riverains du stade Magenta.
Avant cet article, dans notre iconographie du jour, chaque citoyen d'Asnières, stupéfait, pourra lire la lettre honteuse et fuyante, suintante de mauvaise foi et de prétextes invraisemblables signée par Luc Tessier - lequel l'a fait rédiger par un fonctionnaire cadre de la mairie à la demande du maire et de Luc Bérard de Malavas- tous deux incapables de répondre après un an aux exigences urgentes des habitants du quartier Magenta en colère.
Cela fait UN AN que ces deux élus s'acharnent à refuser de prendre réellement en charge le dossier et à se défausser sur tel ou tel service de l'Etat, sur les écoles, sur les associations sportives, etc....
Cela fait UN AN que ces deux élus essaient d'isoler, décrédibiliser, les riverains de ce stade, victimes des fautes conscientes et manifestes de gestion des époux Aeschlimann qui ont mené à l'édification d'un stade surchargé et bruyant adossé à une école mal faite et encore plus tapageuse.
Cela fait plus de 6 mois qu'un Rapport explosif du bureau VERITAS est CACHE aux habitants alors que le maire, Sébastien Pietrasanta, n'a à la bouche que le mot « transparence », auquel il accole de manière ici mensongère ceux de « démocratie » et « proximité avec les habitants ».
Pour toute réponse après UN AN à ne rien faire et à mépriser les habitants excédés, Sébastien Pietrasanta et Luc Bérard de Malavas n'ont trouvé que l'idée de faire adresser aux riverains en colère une lettre méprisante signée par un simple Conseiller Municipal délégué, afin de tenter piteusement de protéger le « soldat-candidat Bérard de Malavas »!
Quels élus peuvent oser se CACHER derrière des services de l'Etat qui n'ont rien à voir dès lors qu'il s'agit de trouver les voies et moyens de FAIRE CESSER DES NUISANCES SONORES INSUPPORTABLES pour un quartier d'Asnières, chose pour laquelle il n'est nul besoin de lois ou règlements, nationaux ou européens, mais seulement de simple courage civique, de bon sens commun et d'un minimum de sincère humanité?
Quels élus peuvent oser faire rédiger cette lettre ahurissante de mépris hautain, prenant les citoyens pour des imbéciles décervelés APRES UN AN à être informés du dossier, APRES un rapport CACHE AU PUBLIC depuis 6 mois sur ORDRE EXPRES du maire?
Quels élus peuvent oser doubler leur incompétence évidente d'une morgue et d'une suffisance méprisables en faisant écrire- A LEUR PLACE- à un simple Conseiller Municipal ce tissu de mensonges, de lâchetés et de faux-fuyants indignes d'un esprit réfléchi conscient de la situation?
Sébastien Pietrasanta et Luc Bérard de Malavas viennent d'insulter avec dédain et arrogance les habitants qui souffrent moralement et physiquement de leurs graves incompétences dans cette affaire.
Ils viennent de commettre une faute majeure du fait de leur commune lâcheté politique.
Dorénavant, durant les 3 mois qui nous séparent des élections cantonales, comme le Collectif contre le stationnement payant en zones résidentielles le fit en 1998, les habitants vont aussi faire campagne, à leur façon.
Ils rédigeront des « gazettes du contribuable », qui ont, au début 2008, connu une grande notoriété à Asnières. Ils prévoient déjà des tirages de ce document, à intervalles réguliers, qui tourneront entre 20000 et 40000 exemplaires.
Leur objectif est simple: démontrer à tous les citoyens-électeurs que Luc Bérard de Malavas est un élu aussi incompétent dans sa gestion de la commune que politiquement lâche, soutenu et appuyé par un maire qui fuit aussi ses responsabilités, ne pratique pas la transparence et méprise les demandes les plus simples et urgentes des habitants!
En conclusion, si Luc Bérard de Malavas croyait avoir la paix pendant sa campagne comme candidat du PS et maire-adjoint avec cette lettre d'une insigne couardise, le résultat de sa lâcheté politique va être à l'inverse des « gazettes » régulières, tirées par milliers, annihilant pan par pan son image d'élu au service et à l'écoute des citoyens.
Cela va rejaillir naturellement en parallèle sur Sébastien Pietrasanta qui le soutient dans cette campagne et se défausse aussi- comme son adjoint- sans cesse du dossier des nuisances sonores qui affligent les riverains du stade Magenta.
Pour finir, laissons la parole à un résident du quartier très remonté:
« En 1997-1998, Luc Bérard de Malavas avait participé au Collectif contre le stationnement payant en zones résidentielles comme « simple habitant ». Vu le mépris inacceptable avec lequel il nous traite aujourd'hui, je finis par me demander si déjà à l'époque, il n'était pas avec nous par seul souci de sa carrière afin de manipuler un Collectif qui lui avait fait confiance malgré des attaques violentes de Frantz Taittinger contre lui.
A ce moment, nous l'avons tous défendu contre des accusations infâmes à nos yeux en provenance de la mairie du moment. Et aujourd'hui, nous constatons que ce même Luc Bérard de Malavas, devenu maire-adjoint, use des mêmes méthodes que le maire de 1998, se comporte avec la même lâcheté politique et se refuse aussi, comme Frantz Taittinger, à vraiment s'occuper des simples problèmes des habitants.
Son comportement, et celui de Sébastien Pietrasanta, aussi poltron que son adjoint dans ce dossier, montre qu'ils sont tous deux indignes de la confiance que nous leur avions donnée, en 1998 et en 2008. S'ils veulent tous deux la retrouver avant que leur aura publique soit fortement dégradée, ils ont deux mesures aisées à prendre de suite:
1- rendre PUBLIC le rapport intégral de VERITAS sur les nuisances sonores du stade Magenta.
2- organiser un dialogue véritable afin que cessent les nuisances sonores nées des décisions mauvaises des époux Aeschlimann .
Sans ces deux mesures immédiates, nous ferons de la campagne du candidat Luc Bérard de Malavas une occasion permanente et quotidienne pour dénoncer l'inaction négative et honteuse du maire-adjoint Bérard de Malavas, ce qui risque de ne pas l'aider pour accéder au Conseil Général des Hauts de Seine ».
Voilà qui est clair, net et précis.
Pour notre part, sauf réaction immédiate de élus intéressés, nous aiderons les citoyens épuisés et malades des nuisances sonores « made in Aeschlimannville » à faire stopper ces nuisances au plus vite, au nom de leur santé, de l'intérêt public et de la démocratie.
Marylise Dipusu
Chapitre 391 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008
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