Au vu des divers sujets du jour, nous avons choisi une iconographie qui sera exceptionnellement du courrier et une seule photographie.
Ci-dessus, la preuve par la lettre publique de Sébastien Pietrasanta, maire d'Asnères, qui vérifie que le Procureur de la République près du TGI de Nanterre, Philippe Courroye, est un menteur et un manipulateur. Cette lettre que nous publions in extenso est claire: afin de nuire à la juge républicaine intègre et indépendante Isabelle Prevost-Desprez, Philippe Courroye a eu recours à un mensonge infâme mettant en cause Sébastien Pietrasanta. Il récidive aujourd'hui, poursuivant de sa vindicte, tout ce qui est honnête et indépendant dans la magistrature. C'est la raison pour laquelle nous nous devions de publier la preuve de ses déclarations malhonnêtes autant que manipulatrices.
Cette affaire concerne au premier chef Asnières, sa mairie et ses citoyens.
C'est en effet, à travers les attaques massives des amis de l'actuel gouvernement sans appui populaire contre la juge Isabelle Prevost-Desprez, -photo ci-dessus) le jugement du 13 mars 2009 sur l'affaire du Festival folklorique que certains veulent remettre en cause ou en doute.
Il n'existe pas de "guerre" entre les deux magistrats. Ce "conflit" est une invention de ceux qui essaient ainsi de justifier hypocritement un possible dessaisissement de la juge qui a le plus fait avancer l'affaire Woerth-Bettencourt-Banier, affaire scandaleuse qui menace les origines occultes des financements secrets du parti présidentiel, l'UMP.
Nous le disons haut et fort, appuyés par l'immense majorité des citoyens: Philippe Courroye se fait l'instrument servile de gens voulant détruire la Justice républicaine et l'asservir à leurs intérêts politiques, financiers et partisans. La lettre du maire d'Asnières en fait foi!
Il est bien et bon que Sébastien Pietrasanta, au nom d'Asnières et de ses habitants, ait eu dans cette affaire cette réaction légitime, digne et nécessaire.
Il a préservé ainsi l'honneur de la commune, si souvent bafoué par Manuel Aeschlimann, et agi en défense de la Justice républicaine.
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Aux frontières du réel invraisemblable: l'UMP d'Asnières et ses votes internes.
Selon les chiffres de Manuel Aeschlimann, il y aurait dans notre ville (avec la partie sud de Colombes) 1396 adhérents de l'UMP, soit près d'un habitant d'Asnières-Colombes sud sur 90!!!
Qui croira à une telle plaisanterie? Et ce parti aussi important en adhérents aurait perdu les élections en mars 2008 avant de s'écrouler en juin 2010.....face à un PS et d'autres formations, qui, toutes unies, doivent péniblement regrouper 250 personnes adhérentes!
Ne voulant risquer de plonger dans le ridicule, Manuel Aeschlimann n'a pas invité ces 1396 adhérents à se réunir en Assemblée Générale comme un parti démocratique normal. Il a préféré un vote où chaque adhérent, vrai ou faux, d'Asnières ou d'ailleurs, venait avec son paquet de procurations données par des absents invisibles....
Avantage de l'invisibilité: on ne peut vérifier le nombre des invisibles. Sur 440 votes annoncées par Manuel Aeschlimann, combien de procurations incontrôlables?
Une autorité de contrôle indépendante a-t-elle vérifié la réalité de l'existence à Asnières et Colombes-Sud de ces adhérents si épuisés et/ou occupés qu'ils sont contraints, un samedi, de remettre des tas de procurations à des amis du député en sursis judiciaire?
Pour nous faire une raison, tentons une comparaison qui vaut ce qu'elle vaut: à Neuilly sur Seine et Puteaux, les amis de Jean Sarkozy indiquaient 4237 adhérents pouvant voter dans cette section UMP, soit 1 habitant sur 29.
Un chiffre si incroyable que personne n'y ajoute foi une seconde!
Les incrédules seront renforcés dans leur méfiance par un fait public incontestable:
le maire de Neuilly sur Seine, Jean-Christophe Fromantin, n'est pas inscrit à l'UMP et il a écrasé le candidat UMP en mars 2008, David Martinon.
Tandis qu'à Puteaux, le père de Madame le maire s'oppose à sa fille qui est bien députée-maire, ce qui signifie que l'UMP y est fortement divisée, AUTANT qu'à Neuilly, mais MOINS qu'à Asnières!!!
Un parallèle intéressant est à faire entre Neuilly et Asnières, villes où les sections de l'UMP annoncent toutes deux rassembler des foules aussi invisibles que le célèbre Fantomas: dans les deux cas, ces forces invisibles formidables ont perdu les mairies au profit, dans un cas, d'un nouvel arrivant divers-droite très apprécié des habitants, dans l'autre cas, d'une coalition qui parvenait à battre Manuel Aeschlimann et ses 1396 soutiens dévoués....sur le papier!
Nous en tirons une conclusion claire: mieux vaut croire aux résultats publics des votes des citoyens qu'aux chiffres fous donnés par Manuel Aeschlimann, lequel n'a pu faire voter, dans des conditions de principauté bananière, avec des paquets de procurations, qu'un petit tiers des 1396 adhérents annoncés, ce qui en dit long sur leur existence..... .
Car, pour un scrutin, Manuel Aeschlimann ne peut mobiliser une armée invisible de procurations invérifiables. Le 16 mars 2008 a démontré ce qu'il en était de sa popularité réelle dans la ville. Et depuis, la chute n'a fait que s'affirmer.....
Manuel Aeschlimann sait bien tout cela: c'est pour cela qu'il s'est inscrit comme Doctorant à Paris 1 et travaille comme avocat. Derrière les discours de fumée sur son avenir radieux imaginaire, il prépare la dure réalité du futur: ne plus être ni député, ni maire, ni conseiller général, mais un simple petit avocat défendant des clients dans des pays lointains.
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Un Procès-Verbal d'un intérêt certain: celui de la réunion du CCQ Centre du 7 octobre 2010
La rédaction d'Asnières Nouvelles Citoyennes a reçu le PV de la réunion de CCQ
Dans ce CCQ, se concentraient 3 élus(es) membres, Mmes ESCLATTIER et LECHARNY ainsi que Monsieur Lasserre de Rozel.
Une élue, Madame Josiane Fischer, s'était invitée.
Le PV dévoile des points sans grand intérêt, gérés avec difficulté par un Lasserre de Rozel mal à l'aise, tandis que Mme Lecharny n'est pas citée une seule fois, et que Mme Esclattier, groupie de Manuel Aeschlimann, « harcèle », parfois avec un certain humour, le pauvre élu qui a bien du mal à animer la réunion, voire surtout à répondre aux questions de fond.
Une partie substantielle du PV indique les réponses aux questions de fond des habitants données par Mme Fischer, première adjointe au maire, notamment sur le sujet qui agite le quartier: le projet de parking et de réaménagement du secteur mairie.
Et là, surprise: le PV de la réunion met en valeur les données fournies par cette élue qui expose avec une clarté, qu'on aurait aimé avoir vu bien avant en mairie, les faits sur le projet global, son coût, les choix définitifs opérés.
Particulièrement instructif est son exposé relaté par ce PV sur le retour de végétation après les travaux du parking sur les Places Aristide Briand et de l'Hôtel de Ville. Elle indique même que pour les rues Fontaine et Périer, les choix finaux quant à la circulation ne sont pas faits, du fait des débats avec les riverains dont les avis sont partagés.
Après avoir lu cette relation par PV interposé des dires de Mme Fischer, ceci sur un dossier complexe entre tous, il nous est apparu que, pour le problème des nuisances sonores sur le stade Magenta, la mairie aurait intérêt à confier le « bébé » à cette élue.
Car, entre les mièvreries sans sel de Monsieur Lasserre de Rozel, le silence de momie de Mme Lecharny, les pertes du Rapport Veritas de Luc Bérard de Malavas, la majorité municipale est plus et mieux servie et valorisée par une élue qui connaît au moins ses dossiers et sait les expliciter aux citoyens.
Avis au maire: plus d'élus efficaces et compétents, c'est un gage de succès. Des élus sans charisme, silencieux et/ou incapables sont par contre des boulets à traîner....
Si on compare les élus municipaux d'Asnières à l'équipe de France de football, Sébastien Pietrasanta devrait, pour son propre intérêt, être plus un Laurent Blanc ou un Michel Platini, et non un Raymond Domenech.
Un bon sélectionneur d'élus compétents mène aux victoires, un mauvais à la catastrophe.....
Philippe Courroye: un magistrat bien menteur au service d'un petit clan politique
Certains, en haut lieu, et pour des raisons d'Etat, aimeraient bien nuire à la Juge Isabelle Prevost-Desprez, celle qui condamna en première instance Manuel Aeschlimann dans l'affaire dite du « Festival International » le 13 mars 2009.
Un magistrat, Philippe Courroye, sert de petit poisson-pilote vindicatif à la manœuvre élaborée au sommet de l'Etat, où on sent bien que des vérités révélées dans les affaires financières autour du dossier Woerth-Bettencourt- Banier pourraient nuire à un certain Nicolas Sarkozy et aux sources de financement discrète, sinon occultes, de l'UMP.
L'objectif: empêcher la magistrate Isabelle Prevost-Desprez d'accomplir sa mission républicaine.
Ce n'est pas la première tentative de ce Philippe Courroye, qui semble ici ne pas servir les intérêts de la manifestation de la vérité, de tout faire pour faire entrave à la Justice (ce qui est un délit puni et sanctionné par le Code Pénal).
Voici les articles du Code Pénal sur les entraves à la Justice: articles 434-7-1, 434-7-2, 434-8, 434-9, 434-9-1, 434-10, 434-11, 434-12, 434-13, 434-14, 434-15, 434-15-1, 434-15-2, 134-16, 434-17, 434-18, 434-19, 434-20, 434-21, 434-22, 434-23; 434-23-1.
Juristes et avocats des parties civiles dans ce tentaculaire dossier pourrait, à juste raison, poursuivre Philippe Courroye pour ce délit pénal. Et si Me Metzner le faisait, nul ne doute que son initiative serait la bienvenue!
Rappelons dans ce contexte les mensonges publics de Philippe Courroye dénoncés par lettre publique de Sébastien Pietrasanta, sur des conseils supposés donnés par Madame Prevost-Desprez aux avocats de la Ville.
A l'époque, Philippe Courroye avait dû ravaler son grossier mensonge indigne d'un haut magistrat. C'est le maire d'Asnières qui avait donc, de manière exemplaire et républicaine, défendu la Justice indépendante à ce moment. Si sa lettre n'avait pas été écrite et publiée largement, qui aurait su alors que Philippe Courroye était un menteur patenté, capable d'affabulations relevant de la médecine spécialisée?
Il est nécessaire de rappeler ici cet événement qui souligne qu'avec Philippe Courroye, nous n'avons pas affaire à un magistrat républicain, mais à un homme soumis à un pouvoir politique partisan: la preuve est dans cette affaire indiscutable et Philippe Courroye n'a pu insister tant sa position était intenable!
Il récidive ces jours-ci, avec toujours la même cible: il apartient aux citoyens de se lever de nouveau afin de défendre la Justice et la République en protégeant la magistrate républicaine irréprochable Isabelle Prevost-Desprez.
La Justice républicaine est la propriété du peuple et elle doit rester sienne.
A force d'injustices, de mensonges et de manipulations, Philippe Courroye lève contre lui et ses maîtres un vent de colère. Et cette colère sourd de tout le pays, et aussi d'Asnières sur Seine.
Marylise Dipusu
Chapitre 358 des Chroniques asnièroises d'après le 16 mars 2008